Amélie chante tantôt en français, tantôt en espagnol entourée de ses musiciens talentueux. Contrebasse, batterie et guitare manouche font voguer les chansons d’Amélie du swing au flamenco, en passant par le jazz. Un beau mélange, de beaux arrangements et une belle découverte venue de Coutances !
21h / Les Goguettes de Saint-Germain sur Ille chantent avec les Voix de L’Astrada, sous la direction de Adeline Chenini.
Des polyphonies du monde qui parlent de paix, d’amour, d’engagements et de luttes. Une invitation au voyage entre les cultures Latines, Orientale et d’Europe de l’est. Point d’honneur à la diversité pour faire de la pluralité une richesse.
Un souffle, murmure d’Orient. Des racines porteuses d’histoires. L’herbe du printemps Persan. L’écho du chant d’un berger, venu des montagnes Hindous… Puis des vents de la mer Égée aux portes de la mer Noir, un accordéon, un saz, un sax soprano, des tablas et des voix se rencontrent et racontent.
22h30 / Jam orientale – ouverte à tous
Avis aux musicien(ne)s amateurs ou professionnels, aux danseurs, ainsi qu’aux mélomanes de tous horizons de venir se rencontrer, jouer et échanger autour de délicieux breuvages…
Venez avec vos instruments qu’ils soient à cordes, frottées, pincées, frappées, mais aussi à vent, ou à percussions.
C’est une ville, une ville d’hier et d’aujourd’hui, avec ses fumées et ses lumières qui éclairent à la fin des jours ceux qui errent la nuit. Dédé est au rendez vous du crépuscule. Hérisson aigri, aux piquants noircis par les hydrocarbures, il se prépare à cette nouvelle nuit qui l’attend, et dont lui n’attend plus grand chose…
Mais même derrière le bitume peut apparaître la plume.
Théâtre-repas sous chapiteau Tout public à partir de 8 ans – 2h15
20h / Sous chapiteau – Place de la mairie
Ce soir comme chaque soir le Bistrodocus ouvre ses portes. La Tribu est là pour tout orchestrer, au rythme d’un rituel minutieux. Huit tenanciers, huit logiques, huit pulsations qui s’accordent pour mettre en marche leur implacable machine de convivialité. C’est une invitation à s’émoustiller les papilles, même si ça chauffe un peu derrière. Seulement ce soir les murs qui grouillent s’effritent. Ils ont de la visite. Alors les folies débordent, les violons grincent, les claques se perdent et la machine s’enraye.
C’est l’histoire de cette tribu qui essaye d’avancer ensemble.
18h30 – Projection du documentaire » A cor do ceu – La couleur du ciel » réalisé par Clovis Gicquel
Film sur la vie et l’œuvre de Raul De Souza
Tromboniste de jazz de Rio de Janeiro Bande annonce
À partir de 19h30 – Restauration brésilienne
21h – Concert – Chora Génêsio / de Saõ Joao Do Rei (BRÉSIL)
Originaire de la région de Belo Horizonte, Chora Genésio cherche à faire vivre la tradition du Choro, musique centenaire brésilienne, venant du mot « choro » pleure en français. La clarinette, la flûte traversière, la guitare classique et le cavaquinho, sont les instruments principaux de cette musique dont la première caractéristique est celle d’improviser autour d’une mélodie.
22h et plus – Roda de Choro (Scène ouverte)
Le choro se pratiquant essentiellement sous forme de « Roda » (tour en français). A l’issu du concert, nous vous invitons à rejoindre la roda, pour écouter, jouer ou danser, et ainsi poursuivre la tradition populaire du Choro !
Spectacle de rue pour une princesse,
un prince, une guitare et un cheval moche
PLACE DU MARCHÉ DE ST SULPICE LA FORÊT
Il était une fois de plus, une princesse très seule sur un donjon trop petit pour abriter des rêves trop gros. Un jour son prince viendra, c’est sûr, c’est toujours comme ça que ça se passe. C’est vrai que sur ce coup là, il se fait un peu désirer le prince. Heureusement, aujourd’hui c’est le monde moderne, les princesses ça se laisse pas abattre, les princes ça se commande sur internet, on peut même choisir la couleur. Le sien il sentira bon, il aura les dents qui brillent et il jouera de la guitare électrique.
Un conte de fée-nomène de société qui grince et claque, un conte de fée qui jongle avec les mots, les rêves d’enfant et les vacheries de la vie.
Sortons-nous les langues des poches, les plumes des tiroirs et ne nous laissons pas taire ! Venez chercher votre propre langage, et ensemble nous lui donnerons corps, chair et son.
Munis de leur chariot du diable débordant d’instruments, les trois vengeurs masqués de Güz II arpentent les rues des villes. Quand l’heure est propice au hold-up, ils s’installent alors discrètement et dégainent leur orchestre de bric et de broc, quelque part entre Ennio Morricone, Franck Zappa, Nino Rota, Les Nones Troppo ou Nirvana, mêlant habilement musique populaire, recherche sonore, et jeu de scène aux grimaces cartoonesques.
Dans ce monde qui nous pousse au silence ou au slogan, la parole pour un soir est libre et ouverte. Les «spect-acteurs» de cette soirée prolixe pourront prendre le micro et ce, accompagnés par un musicien improvisateur.
La règle dit : « Un texte dit, un verre offert ! »
Les œuvres de Lydie Dag sont de véritables trompe-l’œil photographiques. Construits comme des tableaux de peintre la subtilité de ces photographies résident dans le choix du cadre et du sujet photographié : un cadre serré sur des coques de bateaux usées par le temps et rencontrées au gré des balades de Lydie le long du littoral.
Un atelier autour de l’exposition vous est proposé
le dimanche 23 avril de 16h à 18h. Dès 6 ans jusqu’à 77 ans.